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Quel est le symptôme quand on a du cholestérol ?
La difficulté avec le cholestérol, c’est qu’il ne fait pas mal. On peut vivre avec un excès de cholestérol pendant des années sans en ressentir les effets, jusqu’au jour où l’on découvre une plaque d’athérome dans une artère ou que l’on fait un accident cardiovasculaire. Ce silence est justement ce qui rend cette pathologie dangereuse. Néanmoins, certains signaux peuvent vous alerter.
Une fatigue persistante, des douleurs dans les jambes à la marche, une vision floue ou des troubles de la mémoire peuvent indiquer un début de problème circulatoire. Les analyses de sang sont alors le seul moyen fiable pour vérifier son taux de cholestérol total, ainsi que la répartition entre le bon cholestérol HDL et le mauvais cholestérol LDL.
Quel taux de cholestérol est inquiétant ?
En général, un taux de cholestérol total supérieur à 2 grammes par litre de sang commence à poser question, surtout si le LDL dépasse les 1,6 grammes. Ce qu’il faut surtout surveiller, c’est le rapport entre le HDL et le LDL. Un HDL élevé est protecteur car il aide à transporter le cholestérol en excès vers le foie pour qu’il soit éliminé. Un LDL trop élevé, en revanche, favorise les dépôts sur les parois artérielles. Ce déséquilibre peut être influencé par de nombreux facteurs comme l’alimentation, le stress, le tabac ou encore une mauvaise élimination hépatique.
Quel est le pire aliment pour le cholestérol ?
Les aliments les plus délétères sont ceux riches en acides gras trans et en graisses saturées de mauvaise qualité. On les retrouve souvent dans les plats industriels, les viennoiseries, les fritures, les charcuteries et les fromages très gras. Ces aliments favorisent l’inflammation chronique et surchargent le foie, ce qui entraîne une augmentation du LDL et une baisse du HDL.
À cela s’ajoute l’excès de sucre raffiné qui provoque une hausse des triglycérides, un autre facteur de risque cardiovasculaire. Il ne s’agit pas de diaboliser un aliment en particulier, mais de rééquilibrer les apports en lipides et de soutenir les organes chargés d’éliminer les excès.
Quel est le meilleur aliment pour faire baisser le cholestérol ?
Certains aliments sont de véritables alliés pour réguler naturellement le cholestérol. Les fibres solubles contenues dans l’avoine, les légumineuses ou les pommes sont capables de piéger le cholestérol dans l’intestin et d’en réduire l’absorption. Les oméga 3 que l’on trouve dans les poissons gras, les graines de lin ou les noix contribuent à augmenter le HDL et à protéger les artères. Le curcuma, l’ail, l’artichaut ou encore le thé vert ont également montré des effets positifs sur la réduction du LDL. Mais ce que l’on oublie souvent, c’est l’importance du drainage du foie dans la régulation du cholestérol.
C’est là que notre tisane Choléquilibre BIO intervient. Elle combine des plantes reconnues pour leur action sur le métabolisme lipidique et la fonction hépatique. Le pissenlit, le chiendent et l’aubier de tilleul favorisent l’élimination des toxines et stimulent la sécrétion biliaire. Cela permet de mieux digérer les graisses et d’empêcher leur accumulation dans l’organisme. Cette tisane s’inscrit parfaitement dans une démarche de régulation douce et naturelle, que ce soit en prévention ou en accompagnement d’un traitement classique.
Pourquoi agir naturellement pour réguler son cholestérol ?
Le cholestérol n’est pas une condamnation. Il est un indicateur, un signal qu’il faut rééquilibrer quelque chose dans son hygiène de vie. Agir naturellement ne veut pas dire refuser tout traitement médical, mais plutôt compléter l’action des médicaments en respectant le corps dans sa globalité. Cela passe par l’alimentation, le mouvement, le sommeil, la gestion du stress et le soutien des organes d’élimination. Il ne s’agit pas de lutter contre le cholestérol à tout prix, mais de comprendre ce que le corps exprime et de l’aider à retrouver son équilibre.
Avec un peu de patience, une alimentation adaptée et un soutien naturel comme la tisane Choléquilibre BIO, les résultats peuvent être très encourageants. Les analyses s’améliorent, la vitalité revient et le corps retrouve sa capacité à s’auto-réguler !
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